Crédit photo : LFP

Après avoir rendu un premier verdict le mois dernier envers trois clubs (ACCS, Mouvaux-Lille et Nantes Métropole verront leurs masses salariales encadrées), le gendarme financier du football – et désormais du futsal – français en a fait de même ce mardi 5 janvier en publiant un second rendu de décisions. Cette fois, huit des neuf clubs restants de la D1 Futsal, qui étaient dans l’attente des résultats de leurs récents passages devant la DNCG, ont à leur tour été fixés sur leurs sorts. Seul le Toulouse Métropole FC, dont la section futsal est rattachée au club de football de niveau régional du même nom, dépend des instances de contrôle de la Ligue d’Occitanie.

Trois des huit clubs concernés ont donc reçu le feu vert et ont vu leur budgets acceptés : Toulon, Béthune et Paris ACASA. Ces trois bons élèves n’ont fait l’objet d’aucune mesure et ne seront donc pas inquiétés par l’instance financière. En revanche, ce n’est pas le cas pour les cinq autres clubs : Sporting Paris, Hérouville, Garges, UJS Toulouse et FC Chavanoz ont en effet écopé d’une mesure d’encadrement salarial par la DNCG, portant à huit clubs placés sous contrôle renforcé sur les douze formations de l’élite. Cependant, la saison 2020-2021 va se poursuivre sans problème, en attendant de nouveaux examens en fin d’exercice (juin-juillet).

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